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Anna de Noailles à Augustine Bulteau 29 octobre 1904 Anna de Noailles, c. 1922-1923 "Sévère à moi-même Aujourd'hui, l'aura d'Anna de Noailles fascine toujours, bien que sa popularité posthume n'ait jamais Egalement à lire à propos d'Anna de Noailles, sur anthologia : Anna de Noailles, chroniqueuse pour Vogue "Anna de Noailles au manchon", photographie d'Otto Wegener, c.1905 Anna de Noailles à Augustine Bulteau Anna de Noailles à Mathieu de Noailles, 22 décembre 1900 [Anna écrit cette lettre — qu'elle n'enverra

"Les dîners en ville" Anna de Noailles, 1926 Entre février et décembre 1926, Anna de Noailles livre chaque Anna de Noailles s'illustre pourtant, dans ces chroniques, par un franc-parler qui pourrait bien décevoir On l'aura compris, Anna de Noailles n'eut ni besoin, ni envie, de se dresser en grande prêtresse de la C'est peut-être en l'harmonie que croit surtout Anna de Noailles... de Noailles, sur anthologia : Anna de Noailles, l'exaltation et la mélancolie (Correspondance) Les dîners

Léon-Paul Fargue, Anna de Noailles Présence d'Anna de Noailles Texte issu du recueil Portraits de famille J'avais fait la connaissance d'Anna de Noailles chez Mme Lucien Muhlfeld, une de ces rares maîtresses Anna de Noailles, en effet, avait peur, une peur mystique de la Mort. Anna de Noailles, écrivons-le sans balancer, fut notre dernier poète "inspiré". Anna de Noailles — Portrait figurant dans Nos poètes, lib. Alphonse Lemerre, 1926

Anna de Noailles, "Les Parfums", Le Coeur innombrable (1901) Un parfum s'envola quand j'ouvris le coffret Anne, Agnès et Françoise Costa, qui tiennent actuellement les rênes de l'entreprise, sont les petites-filles Anna de Noailles, "Les Parfums", Le Coeur innombrable (1901) -- Musée du parfum Fragonard 9 rue Scribe

Henri Franck, "XXXIII", La Danse devant l'Arche, 1912 Henri Franck et Anna de Noailles à Vevey Chancellerie

Ici, Proust, Anna de Noailles, Émile Nelligan, Maurice Rollinat ou encore William Chapman couchent sur Chopin's vision, Tadeusz Korpal La musique de Chopin Anna de Noailles Le vent d’automne, usant sa rude

", Anna de Noailles

Comme Maurice Barrès et Anna de Noailles, Proust avait lui aussi beaucoup aimé sa lecture du Roman du dire tu le diras. -- A lire également, sur Anthologia : - Arnold Goffin, "Impression obscure" (1897) - Anna de Noailles, "Ce que j'appellerais le ciel", 1926

insupportable" ; la poésie de Paul Valéry est comparée à une "lampe électrique de poche" tandis que celle d'Anna de Noailles est "un brasier" (la poésie de la Comtesse de Noailles trouve ainsi grâce à ses yeux, contrairement

Un Voyage, 1904 Portrait de Madame Jules Ricard, née Augustine Bulteau par Fernand Khnopff, c. 1893 Anna de Noailles, et quelques autres, la surnommaient affectueusement "Toche". Parisienne entre 1898 et 1899, ou encore La Lueur sur la cime (1904), roman inspiré par la Comtesse de Noailles

Extract from: Anne Morrow Lindbergh Gift from the Sea 1955 THE BEACH The beach is not the place to work

aimait et admirait, à quelques-unes des figures de proue de la poésie ; ainsi, on trouvera l'évocation d'Anna de Noailles, de Francis Jammes, ou encore de Jean Moréas et d'Henri de Régnier dans le recueil. Presque dix ans après la mort de Despax, en 1924, c'est d'ailleurs Anna de Noailles qui rendit hommage A Madame de Noailles La Maison des Glycines (1905) Il m'en souvient. C'était le matin.